Macon (26/11/05)
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Macon (26/11/05)
par broger36 Dim 27 Nov 2005, 19:06
26 Novembre 2005 : Plantation de l’arbre de l’Académie de Mâcon
Privilégié de cette cérémonie, je me sens a minima redevable d’un petit compte rendu de cette journée mémorable.
Oh ce n’est pas un pensum, une rédaction forcée mais bien au contraire un immense plaisir de me souvenir en couchant sur le papier ces moments inoubliables …
Je voudrais juste, non pas réaliser une chronologie des événements, mais surtout essayer de traduire avec mes faibles mots, les intenses moments que j’ai vécus.
Départ vers 5 heures dans le froid et la neige depuis Epinal. Route dans la nuit. Route agréable en pensant par avance aux minutes où je verrais Elodie.
Je ne suis pas seul dans mon véhicule car Sa voix m’accompagne, Ses titres évocateurs : « Viens jusqu’à moi » , « On se retrouvera », …
Arrivée à Mâcon vers 8 heures. Recherche du Vallon des Rigolettes où la plantation doit avoir lieu. Il est tôt encore et le Vallon est désert. Je le parcours de long en large pour bien fixer dans ma mémoire le lieu. Puis visite de Mâcon, jolie ville de province, très pittoresque et très représentative de la région.
J’imagine et je crains par avance les heures qui vont suivre. Car comme l’a écrit un célèbre écrivain « L’attente du plaisir est déjà un plaisir », je sais, qu’une fois encore, en voyant Elodie, mes neurones vont se bloquer et que je vais fondre …
Durant mes pérégrinations, je rencontre … Jane, Michel et Kinnie qui sont aussi arrivés le matin même. Ghis et Stéréo nous rejoignent ainsi qu’un couple venu des Pyrénées (que ne ferait on pas pour Elodie ?).
Nous attendons avec impatience le début de la cérémonie qui débute vers 11 heures.
Les notables arrivent et le public présent (une trentaine de personnes) assiste à la mise en terre de l’arbre (un frêne je crois). L’ambiance est très chaleureuse. Nous avons été prévenus qu’Elodie ne serait pas présente lors de la plantation mais qu’Elle nous rejoindrait avec sa famille à l’Hôtel de l’Académie.
Nous nous rendons en groupe du Vallon des Rigolettes vers l’Hôtel. Là, une collation nous est servie.
Soudain, une voiture arrive : Elodie, sa famille et Jean Pelletier Thibert en descendent.
Elodie est vêtue d’un long manteau blanc et noir, de bottes noires à hauts talons ( !) et d’une inévitable casquette accordée à la couleur du manteau.
« Dans le froid de l’hiver »
« Un matin de lumière »
Et comme chaque fois que je La vois, mon cœur s’emballe, mes pensées se bousculent. Des idées contradictoires m’envahissent : fuir, se terrer pour échapper à son Charme ou rester pour la Contempler.
Je trouve un compromis : je me retire dans un coin de la salle et là, profitant de ma taille, je peux voir sans être vu (du moins je l’espère). Là, tel un enregistreur humain, j’emplis mon cerveau d’images et des rares paroles d’Elodie pour les graver et pouvoir ainsi me les remémorer tranquillement le moment venu lorsque la tension nerveuse aura disparu.
Plusieurs personnes prennent alors la parole pour commenter l’événement. L’ambiance est simple, conviviale et le but (mettre la culture au niveau de chacun) est idéalement réussi. Durant ces courtes interventions, Elodie se tient droite, attentive.
« Sans un geste, sans un mot »
« Une parole serait de trop »
« Peu importe, n’importe où »
« Vous serez au rendez vous »
Bien qu’Elle ne parle pas, pour moi, toute la salle est emplie d’Elle. Quelquefois , elle ouvre ses grands yeux et une vision quasi paradisiaque s’en échappe. Son Naturel, sa Grâce, Son Charme, Sa simplicité envahissent tout l’espace du salon.
Soudain, j’entends Sa voix. Qu’a t Elle dit ? Je ne sais mais Ses mots s’incrustent dans ma mémoire et ce n’est que plus tard que je les entendrais. Seul son sourire malicieux et la réaction de l’assistance me conduisent à penser, qu’une fois encore, Elodie nous a livré une nouvelle « pensée Elodinesque » pleine de charme, de tendresse et d'humour.
Les discours terminés, Elodie se prête avec sa gentillesse extrême à ses nombreux admirateurs et admiratrices. Nombreuses photographies. Cadeaux. Dédicaces.
Ce que je n’oserai pas pour moi, je vais oser le faire pour une petite fan d’Elodie. J’ose quitter mon terrier et demander une dédicace pour la petite fille de Colmar.
Je suis près d’Elodie et me sens comme dans un nuage. Plus rien n’existe. Le salon est vide. Elle est là et je ne vois qu’Elle.
Mes dédicaces obtenues, vite je m’éclipse. Mon cœur bat trop la chamade.
Comment un homme de mon âge peut il réagir ainsi ? Je ne sais mais c’est le cas.
Lentement la sale se vide et il ne reste que les fans d’Elodie venus pour La remercier et La voir une fois encore.
Il me devient de plus en plus difficile de me dissimuler.
Pire, Jane souhaite faire une photographie d’Elodie avec moi. J’ai beau refusé. L’envie est trop forte et je dois (oh que le verbe « devoir » est mal adapté car c’est un plaisir intense!) m’y résoudre.
J’aimerai être invisible et que sur les clichés seule apparaisse Elodie. Espérons le miracle !
Il est temps de se quitter pour mieux se retrouver vers 15 heures.
Repas sympathique et agréable avec Jane, Ghis, Michel, Stéréo et Kinnie.
Stéréo ayant eu un problème de voiture, je dois l’accompagner dans un garage proche de Mâcon pour récupérer son véhicule réparé.
Ce contretemps fâcheux nous fait arriver en retard (pardon aux organisateurs) et surtout me prive de précieux instants avec Elodie.
Surtout que le conciliabule se passe en comité restreint (Elodie, sa famille, Jean Pelletier Thibert, le responsable de l’Académie et les admirateurs et admiratrices d’Elodie).
Après une présentation simple mais complète des objectifs de l’Académie, Jean Pelletier Thibert nous permet de soumettre Elodie à nos questions.
Questions de Ghis. Réponses d’Elodie. Le paradis s’ouvre de nouveau. Ses paroles coulent comme du miel, sucré , agréable. Son charme agit une fois encore. Sa simplicité éclate. Contraste entre la douceur de sa voix quand Elle parle et la force talentueuse de cette même voix quand Elle chante soit mélodieusement ( « Je sais si peu », « Douce Nuit », ) ou avec force (« L’aigle Noir », « Amsterdam », .. ).
Les sourires d’Elodie sont des lumières qui étincellent dans la salle.
Jean Pelletier Thibert rappelle que les fans d’Elodie doivent respecter la déontologie artistique et commerciale, ce que les vrais admirateurs savent et appliquent.
Le responsable de l’Académie propose même une petite salle pour un concert futur d’Elodie. Là, j’ose surenchérir et sur le ton de la plaisanterie (mais l’humour est l’arme des clowns blancs), j’ose demander une date pour ce concert ! Car les admirateurs d’Elodie ont tant envie de L’entendre chanter, de La faire connaître aux autres, de L’aider dans sa carrière d’artiste (tout en restant entièrement soumis à sa volonté)…
Le responsable de l’Académie nous conduit tous dans les sous sols pour admirer les trésors qui y sont déposés, en particulier la célèbre fresque.
Nouvelle séance photographique : Elodie, Elodie et sa famille, Elodie et ses fans, Elodie et le groupe, ….
Les flashs crépitent. Elodie s’y prête avec une simplicité et une générosité sans égal. Sa patience semble infinie. Que de cadeaux Elle nous offre ainsi !
Hélas, il est temps de se quitter car Elodie et sa famille doivent retourner à Cosne.
Une fois encore, Elodie est la dernière à monter dans le véhicule. Un petit geste de la main et Elle disparaît.
C’est l’heure de quitter Mâcon (il est plus de 19 heures). Sur la route du retour, qu’importe la neige et les kilomètres.
Grâce à toutes les images que j’ai enregistrées dans cette journée, je dispose dans mon véhicule de la voix d’Elodie (la cassette de l’album) mais surtout de l’image (souvenirs enregistrées dans ma mémoire)
Et je vous assure qu’écouter Elodie, Sa sublime voix et en même temps La voir (la tête penchée avec cette casquette qui lui va si bien, son sourire, ses yeux qui s’ouvrent, …) c’est mieux qu’un enchantement.
Dans la nuit de l’autoroute, le visage d’Elodie me précède et chasse les flocons de neige qui tombent.
J’aimerai alors avoir le talent d’Océane, Nénette ou Victorine pour réaliser une création sur les visions qui m'ont accompagné sur le chemin du retour !
J’arrête mon texte avec le regret de ne pas avoir trouver tous les mots pour traduire les intenses sentiments qui m’ont traversé durant cette inoubliable journée
Pardonnez mon lyrisme et ma folie mais au moins j’aurais évité la citation « Oh temps suspend ton vol » bien que j’aurai ardemment désiré que le temps s’arrête, que chaque minute dure une heure…
Merci à tous ceux qui m’ont permis de vivre ces instants inoubliables.
Merci à Jean Pelletier Thibert si cultivé, si simple, si prévenant avec Elodie. Merci au responsable de l’Académie de Mâcon si ouvert et si convivial. Merci aux organisateurs (Aurélie se reconnaîtra). Merci à la famille d’Elodie si attachante et si amicale. Merci à Ghis pour son dévouement. Merci à Jane pour sa gentillesse. Merci à Michel pour son accueil. Merci à Kinnie pour sa jeunesse souriante. Merci à Stéréo (je lui pardonne sa panne de voiture qui m’a tenu éloigné d’Elodie quelques minutes !).
Et surtout
à Elodie pour ces moments de bonheur ….
Privilégié de cette cérémonie, je me sens a minima redevable d’un petit compte rendu de cette journée mémorable.
Oh ce n’est pas un pensum, une rédaction forcée mais bien au contraire un immense plaisir de me souvenir en couchant sur le papier ces moments inoubliables …
Je voudrais juste, non pas réaliser une chronologie des événements, mais surtout essayer de traduire avec mes faibles mots, les intenses moments que j’ai vécus.
Départ vers 5 heures dans le froid et la neige depuis Epinal. Route dans la nuit. Route agréable en pensant par avance aux minutes où je verrais Elodie.
Je ne suis pas seul dans mon véhicule car Sa voix m’accompagne, Ses titres évocateurs : « Viens jusqu’à moi » , « On se retrouvera », …
Arrivée à Mâcon vers 8 heures. Recherche du Vallon des Rigolettes où la plantation doit avoir lieu. Il est tôt encore et le Vallon est désert. Je le parcours de long en large pour bien fixer dans ma mémoire le lieu. Puis visite de Mâcon, jolie ville de province, très pittoresque et très représentative de la région.
J’imagine et je crains par avance les heures qui vont suivre. Car comme l’a écrit un célèbre écrivain « L’attente du plaisir est déjà un plaisir », je sais, qu’une fois encore, en voyant Elodie, mes neurones vont se bloquer et que je vais fondre …
Durant mes pérégrinations, je rencontre … Jane, Michel et Kinnie qui sont aussi arrivés le matin même. Ghis et Stéréo nous rejoignent ainsi qu’un couple venu des Pyrénées (que ne ferait on pas pour Elodie ?).
Nous attendons avec impatience le début de la cérémonie qui débute vers 11 heures.
Les notables arrivent et le public présent (une trentaine de personnes) assiste à la mise en terre de l’arbre (un frêne je crois). L’ambiance est très chaleureuse. Nous avons été prévenus qu’Elodie ne serait pas présente lors de la plantation mais qu’Elle nous rejoindrait avec sa famille à l’Hôtel de l’Académie.
Nous nous rendons en groupe du Vallon des Rigolettes vers l’Hôtel. Là, une collation nous est servie.
Soudain, une voiture arrive : Elodie, sa famille et Jean Pelletier Thibert en descendent.
Elodie est vêtue d’un long manteau blanc et noir, de bottes noires à hauts talons ( !) et d’une inévitable casquette accordée à la couleur du manteau.
« Dans le froid de l’hiver »
« Un matin de lumière »
Et comme chaque fois que je La vois, mon cœur s’emballe, mes pensées se bousculent. Des idées contradictoires m’envahissent : fuir, se terrer pour échapper à son Charme ou rester pour la Contempler.
Je trouve un compromis : je me retire dans un coin de la salle et là, profitant de ma taille, je peux voir sans être vu (du moins je l’espère). Là, tel un enregistreur humain, j’emplis mon cerveau d’images et des rares paroles d’Elodie pour les graver et pouvoir ainsi me les remémorer tranquillement le moment venu lorsque la tension nerveuse aura disparu.
Plusieurs personnes prennent alors la parole pour commenter l’événement. L’ambiance est simple, conviviale et le but (mettre la culture au niveau de chacun) est idéalement réussi. Durant ces courtes interventions, Elodie se tient droite, attentive.
« Sans un geste, sans un mot »
« Une parole serait de trop »
« Peu importe, n’importe où »
« Vous serez au rendez vous »
Bien qu’Elle ne parle pas, pour moi, toute la salle est emplie d’Elle. Quelquefois , elle ouvre ses grands yeux et une vision quasi paradisiaque s’en échappe. Son Naturel, sa Grâce, Son Charme, Sa simplicité envahissent tout l’espace du salon.
Soudain, j’entends Sa voix. Qu’a t Elle dit ? Je ne sais mais Ses mots s’incrustent dans ma mémoire et ce n’est que plus tard que je les entendrais. Seul son sourire malicieux et la réaction de l’assistance me conduisent à penser, qu’une fois encore, Elodie nous a livré une nouvelle « pensée Elodinesque » pleine de charme, de tendresse et d'humour.
Les discours terminés, Elodie se prête avec sa gentillesse extrême à ses nombreux admirateurs et admiratrices. Nombreuses photographies. Cadeaux. Dédicaces.
Ce que je n’oserai pas pour moi, je vais oser le faire pour une petite fan d’Elodie. J’ose quitter mon terrier et demander une dédicace pour la petite fille de Colmar.
Je suis près d’Elodie et me sens comme dans un nuage. Plus rien n’existe. Le salon est vide. Elle est là et je ne vois qu’Elle.
Mes dédicaces obtenues, vite je m’éclipse. Mon cœur bat trop la chamade.
Comment un homme de mon âge peut il réagir ainsi ? Je ne sais mais c’est le cas.
Lentement la sale se vide et il ne reste que les fans d’Elodie venus pour La remercier et La voir une fois encore.
Il me devient de plus en plus difficile de me dissimuler.
Pire, Jane souhaite faire une photographie d’Elodie avec moi. J’ai beau refusé. L’envie est trop forte et je dois (oh que le verbe « devoir » est mal adapté car c’est un plaisir intense!) m’y résoudre.
J’aimerai être invisible et que sur les clichés seule apparaisse Elodie. Espérons le miracle !
Il est temps de se quitter pour mieux se retrouver vers 15 heures.
Repas sympathique et agréable avec Jane, Ghis, Michel, Stéréo et Kinnie.
Stéréo ayant eu un problème de voiture, je dois l’accompagner dans un garage proche de Mâcon pour récupérer son véhicule réparé.
Ce contretemps fâcheux nous fait arriver en retard (pardon aux organisateurs) et surtout me prive de précieux instants avec Elodie.
Surtout que le conciliabule se passe en comité restreint (Elodie, sa famille, Jean Pelletier Thibert, le responsable de l’Académie et les admirateurs et admiratrices d’Elodie).
Après une présentation simple mais complète des objectifs de l’Académie, Jean Pelletier Thibert nous permet de soumettre Elodie à nos questions.
Questions de Ghis. Réponses d’Elodie. Le paradis s’ouvre de nouveau. Ses paroles coulent comme du miel, sucré , agréable. Son charme agit une fois encore. Sa simplicité éclate. Contraste entre la douceur de sa voix quand Elle parle et la force talentueuse de cette même voix quand Elle chante soit mélodieusement ( « Je sais si peu », « Douce Nuit », ) ou avec force (« L’aigle Noir », « Amsterdam », .. ).
Les sourires d’Elodie sont des lumières qui étincellent dans la salle.
Jean Pelletier Thibert rappelle que les fans d’Elodie doivent respecter la déontologie artistique et commerciale, ce que les vrais admirateurs savent et appliquent.
Le responsable de l’Académie propose même une petite salle pour un concert futur d’Elodie. Là, j’ose surenchérir et sur le ton de la plaisanterie (mais l’humour est l’arme des clowns blancs), j’ose demander une date pour ce concert ! Car les admirateurs d’Elodie ont tant envie de L’entendre chanter, de La faire connaître aux autres, de L’aider dans sa carrière d’artiste (tout en restant entièrement soumis à sa volonté)…
Le responsable de l’Académie nous conduit tous dans les sous sols pour admirer les trésors qui y sont déposés, en particulier la célèbre fresque.
Nouvelle séance photographique : Elodie, Elodie et sa famille, Elodie et ses fans, Elodie et le groupe, ….
Les flashs crépitent. Elodie s’y prête avec une simplicité et une générosité sans égal. Sa patience semble infinie. Que de cadeaux Elle nous offre ainsi !
Hélas, il est temps de se quitter car Elodie et sa famille doivent retourner à Cosne.
Une fois encore, Elodie est la dernière à monter dans le véhicule. Un petit geste de la main et Elle disparaît.
C’est l’heure de quitter Mâcon (il est plus de 19 heures). Sur la route du retour, qu’importe la neige et les kilomètres.
Grâce à toutes les images que j’ai enregistrées dans cette journée, je dispose dans mon véhicule de la voix d’Elodie (la cassette de l’album) mais surtout de l’image (souvenirs enregistrées dans ma mémoire)
Et je vous assure qu’écouter Elodie, Sa sublime voix et en même temps La voir (la tête penchée avec cette casquette qui lui va si bien, son sourire, ses yeux qui s’ouvrent, …) c’est mieux qu’un enchantement.
Dans la nuit de l’autoroute, le visage d’Elodie me précède et chasse les flocons de neige qui tombent.
J’aimerai alors avoir le talent d’Océane, Nénette ou Victorine pour réaliser une création sur les visions qui m'ont accompagné sur le chemin du retour !
J’arrête mon texte avec le regret de ne pas avoir trouver tous les mots pour traduire les intenses sentiments qui m’ont traversé durant cette inoubliable journée
Pardonnez mon lyrisme et ma folie mais au moins j’aurais évité la citation « Oh temps suspend ton vol » bien que j’aurai ardemment désiré que le temps s’arrête, que chaque minute dure une heure…
Merci à tous ceux qui m’ont permis de vivre ces instants inoubliables.
Merci à Jean Pelletier Thibert si cultivé, si simple, si prévenant avec Elodie. Merci au responsable de l’Académie de Mâcon si ouvert et si convivial. Merci aux organisateurs (Aurélie se reconnaîtra). Merci à la famille d’Elodie si attachante et si amicale. Merci à Ghis pour son dévouement. Merci à Jane pour sa gentillesse. Merci à Michel pour son accueil. Merci à Kinnie pour sa jeunesse souriante. Merci à Stéréo (je lui pardonne sa panne de voiture qui m’a tenu éloigné d’Elodie quelques minutes !).
Et surtout
à Elodie pour ces moments de bonheur ….
broger36- Nombre de messages : 3201
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Date d'inscription : 10/02/2005
Re: Macon (26/11/05)
par Séverine Dim 27 Nov 2005, 19:15
Merci pour ce merveilleux résumé mon cher Broger. J'ai bu chaque parole ; chaque mot et j'imagine aisément ce que tu as ressenti.
J'imagine que tous les admirateurs présents ont de belles images à l'esprit.
Merci de nous faire partager vos émotions.
Roger, j'ai hâte de voir cette photo où tu poses avec Elodie et je pense bien que tu n'y es pas invisible...
Merci beaucoup Roger !
J'imagine que tous les admirateurs présents ont de belles images à l'esprit.
Merci de nous faire partager vos émotions.
Roger, j'ai hâte de voir cette photo où tu poses avec Elodie et je pense bien que tu n'y es pas invisible...
Merci beaucoup Roger !
Séverine- Administratrice
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Re: Macon (26/11/05)
par M Dim 27 Nov 2005, 21:16
Merci broger ! euh lol jsuis pas petite mdr ! Lol ! Non mille ! jtadore !
mille ! jtadore !
M-
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jam- ChouchouX
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Re: Macon (26/11/05)
par abelf Dim 27 Nov 2005, 22:08
Broger 36 pour CR 
Merveilleux et inoubliables souvenirs pour toi et
encore de nous les faire partagernous attendons les photos
et je peux te dire que si j'avais eu la chance d'être à ta place , j'aurais été également paralysé par tract
aprés une pareille journée, tu as bien fait
et rêvé
abelf- Nombre de messages : 4205
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Aless- Administrateur
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Valérie- Nombre de messages : 573
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Re: Macon (26/11/05)
par Victorine Dim 27 Nov 2005, 23:48
Merci beaucoup Broger pour ton CR bien détailler 
Victorine- Administratrice
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Re: Macon (26/11/05)
par carole.muller Lun 28 Nov 2005, 00:01
1000 Merci c'est vraiment géniale tout ce résumée heureuse pour toi.
carole.muller- Nombre de messages : 1367
Date d'inscription : 12/06/2005
Re: Macon (26/11/05)
par broger36 Mar 29 Nov 2005, 20:52
Valérie a écrit:Merci Broger
MERCI POUR TON MERCI
broger36- Nombre de messages : 3201
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Re: Macon (26/11/05)
par Lauriane Mar 29 Nov 2005, 21:18
Merci Broger. J'aurais aimer être à ta place
Lauriane-
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Date d'inscription : 19/04/2005
Re: Macon (26/11/05)
par marilyn Mer 30 Nov 2005, 16:39
je te remercie pour ce cr si émouvant Broger!
mille fois!
mille fois!
marilyn- ChouchouX
- Nombre de messages : 911
Localisation : Saint-Raphael
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Re: Macon (26/11/05)
par Océane Mer 07 Déc 2005, 00:25
Merci pour ce long résumé Roger ! 
J'imagine bien ...
J'imagine bien ...
Océane-
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Localisation : Cosne sur loire
Date d'inscription : 31/12/2004 -
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