Benjamin Castaldi

Merci Tristan

Merci Tristan !
Vic, tu es dans le love ?

Non, je m'en fiche de sa paye, c'est juste qu'il est trop beau

Merci Tristan!

Benjamin Castaldi : « J'aspire à certaines choses et M6 le sait » Propos recueillis par Julien Mielcarek



Premier mai 2006. Maître de cérémonie de “Nouvelle Star”, Benjamin Castaldi savoure le succès incontesté de la quatrième edition. Ce succès place-t-il l'animateur-producteur en position de force pour négocier avec M6 ? Discret face aux journalistes, imédias a tout de même tenté d'obtenir quelques réponses de l'animateur peu loquace en dehors des plateaux télés... Entretien.

Imédias : “Nouvelle Star” est un succès cette année. Pourtant, on a le sentiment, notamment sur M6, que les formats de docu ou de télé-réalité s'essoufflent. Comment expliquez-vous que « Nouvelle star » ne connaisse pas la crise ?
Benjamin Castaldi : Je pense que c'est le fruit d'un travail collectif, une attention de tous les moments. C'est soigner le produit que ce soit au moment du tournage que du montage ou lors des castings. Il y a un vrai travail en amont sur ce qui va se passer sur le plateau. On n'a rien laissé au hasard : le jury, la production et moi-même faisons notre travail. Il y a une concordance de bonnes résolutions qui fait que le produit est exceptionnel.

Dans ce programme, la star, c'est le jury, les candidats... Quand on regarde le prime-time, votre rôle se résume à passer les plats et à appeler aux votes, n'est-ce pas frustrant ?
Vous n'avez pas dû voir les derniers directs car c'est bien plus que ça. Si je ne faisais que passer les plats dans l'émission, l'émission ne serait pas ce qu'elle est.

Mais ce n'est pas frustrant de ne pas avoir plus de place lors du direct ?
Ma place est très importante donc je n'ai pas besoin d'être plus présent. Je ne suis pas là pour juger les candidats. Je suis à côté d'eux pour les rassurer et les présenter les plus positivement qu'ils soient. Je pense que je remplis totalement mon travail. Je fais 2h30 de direct : plus de présence, ce serait pêcher.

Mais sur ces 2h30, vous faites assez peu dans le programme.
Je fais une heure de plateau, ce qui est près de la moitié. C'est pas mal.

Une heure qui se résume quand même pas mal à appeler aux votes.
Non. Il s'agit de parler aux candidats, faire le lien avec le jury et aussi appeler les gens à voter.

M6 ne cache pas son intention de faire une cinquième saison, le jury se montre plus sceptique dans la presse. Serez-vous toujours aux commandes l'an prochain ?
Si c'est une édition à l'identique, oui. Si on change tout le jury, non.

Chaque juré touche 150.000 euros. L'animateur est-il aussi bien loti ?
L'animateur n'est pas payé sur l'émission. Je suis salarié de M6 et il n'y a pas de bonus que je fasse ou non « Nouvelle star ».

Côté production, on a tout entendu au sujet de « Totale impro ». Pourquoi l'émission a-t-elle quitté l'antenne ?
Objectivement, pour déficit d'audience. On était content de ce qu'on a fait. Après, l'émission ne marchait pas suffisamment donc elle est retirée.

Et on la retrouvera sous une autre forme ?
On y travaille. On est vraiment en phase de réflexion sur ce projet.

Et ce serait plutôt du prime-time ?
Si elle revenait, ce serait comme ça.

Vous avez d'autres projets actuellement en développement avec B3 Com ?
On en a un certain nombre. On travaille sur différents supports, formats et chaînes. On travaille activement pour la rentrée.

En priorité pour M6 ?
En priorité pour l'ensemble des chaînes qui veulent nous prendre des programmes : les chaînes du câble, les téléphones mobiles, les chaînes hertziennes... c'est l'ensemble des clients potentiels de programmes de télévision.

Quand on regarde les noms de marques déposées par votre société, il y a vraiment de tout. On peut citer « Génial, mes parents divorcent », « Mardi c'est ravioli »... Il y a plein de titres assez étonnants. Ce sont tous des projets avortés ?
« Mardi c'est ravioli », je l'avais déposé pour un projet de talk-show que j'aime beaucoup, ça me fait bien rire. Ce sont des projets aboutis qui ne sont pas encore à l'antenne. Il y a même une marque qui était « Les Bronzés » qu'on a rendu gracieusement aux « Bronzés » d'ailleurs.

« Mardi c'est ravioli » était donc un projet de talk-show. C'est votre rêve de faire un talk ?
J'aimerais beaucoup.

Et comment renouveler le genre. Vous voyez ça comment ?
On travaille. Encore une fois, il n'y a pas de formule miracle. Un talk-show, ça repose sur celui qui présente donc une fois qu'on amène l'animateur, il y a plein de choses autour.

Justement, quelle serait votre plus-value dans cet exercice ? On se souvient de vos entretiens remarqués sur Europe 1.
Ce serait plutôt dans l'écoute et la façon d'interviewer les gens.

Plus proche de ce que faisait Emmanuel Chain sur M6 que de Marc-Olivier Fogiel par exemple ?
Différent.

Différent dans quel sens ?
Je n'ai pas le même style que Chain ou Fogiel.

Comment est votre style alors ?
Comme étant mon style à moi.

Et vous le définissez comment en quelques mots ?
Mon style à moi, c'est une façon d'interviewer qui n'est pas celle des autres. C'est une façon de préparer une interview, de poser des questions...

Dans les titres déposés, il y aussi « Bluff story ». Cinq ans après le Loft, quel regard vous portez sur cette aventure ?
C'était un titre pour « Gloire et fortune ». Sur le Loft, je porte un regard bienveillant et nostalgique : c'est une télé qui n'existera plus. C'est vraiment que du bonheur.

Vous fait-on encore sentir qu'on ne vous donne pas certains projets à cause de cette étiquette du Loft ?
Pas du tout. On ne me l'a jamais fait sentir car depuis le Loft, j'ai la chance d'avoir présenté moult programmes extrêmement différents les uns des autres et avec un succès évident. A la sortie, j'ai présenté « QI, le grand test », « C'est leur destin », « Absolument 80 » donc ça va avec, en plus à chaque fois, des cartons d'audience très importants.

Vous avez aussi fait de la radio, notamment sur Europe 1. On a entendu parler de vous pour succéder à Alexandre Devoise au morning de RTL 2. Où en est-on ?
(rires) Je discute.

Avec RTL 2 uniquement ?
Avec l'ensemble des radios présentes sur la FM.

Toutes les radios, ça fait beaucoup...
Avec quelques-unes des grandes radios de la FM.

Peut-on d'ores et déjà dire que vous serez à la radio en septembre ?
Oui.

C'est tout, rien de plus ?
(rires) Non.

Flavie Flament, la semaine dernière sur RTL, confiait que vous étiez un battant dans ce métier, que vous en vouliez. Estimez-vous que le statut que vous accorde M6 vous comble ?
Je suis bien assis sur ma chaîne. J'ai la chance de présenter le programme leader de la chaîne donc je dois me satisfaire de cette position.

Au contraire, ne trouvez-vous pas que TF1 sous-exploite les capacités de votre épouse ?
Je ne pense pas que TF1 sous-exploite ses capacités mais ne les exploite pas suffisamment. Ses capacités sont gigantesques et Flavie est quelqu'un qui prend son temps, qui analyse les choses et qui sait exactement ce qu'elle veut. Elle n'est pas, comme beaucoup d'entre nous animateurs, à taper du pied pour obtenir des choses. Elle a cette chance que les choses lui arrivent naturellement sans pour autant les réclamer à corps et à cris. Je pense que Flavie Flament évoluera vers ce qu'elle est plus profondément dans les prochaines années.

Et vous, vous tapez du pied à M6 ?
Pas assez (rires).

Vous pensez donc que M6 ne vous exploite pas suffisamment ?
Si. En terme d'animation, je n'ai absolument aucune critique à faire à la chaîne.

Les critiques seraient en quels termes alors ?
Ce ne sont pas des critiques mais ils savent très bien ce que j'ai envie de faire et de ce dont je suis capable. Après, si on ne me le donne pas, c'est un choix qui leur appartient. C'est une question de confiance. S'il n'y a pas suffisamment de confiance, on se posera des questions. Mais en terme d'animateur, je n'ai pas à me plaindre de ma position sur la chaîne. Je présente le programme leader dont la quatrième année est un carton absolu donc je ne peux pas décemment me plaindre de ma position sur M6. Maintenant, j'aspire à certaines choses : c'est un fait et ils le savent très bien.

Et vous pensez que ce sera pour la saison prochaine ?
Je n'en sais rien mais il vaudrait mieux.

Justement, selon Le Point, France Télévisions souhaite débaucher des "animateurs vedettes" des chaînes privées pour renouveler les visages de son antenne. Est-ce que vous avez été approché ?
(silence) Pas directement.

C'est à dire ?
(rires) C'est à dire pas directement !

C'est très flou...
Oui comme tout est flou en ce moment en télé avec les transferts potentiels d'animateurs. On sait qu'il y aurait éventuellement moyen de moyenner mais après tout dépend si on enclenche des négociations ou non. On n'est pas non plus cinquante animateurs de grands prime-time en direct sur la place de Paris.

On peut vous demander si vous êtes dans l'état d'esprit d'engager des négociations ou si vous êtes lié à M6 et que vous avez envie d'y rester.
Je suis dans l'état d'esprit de passer dans un nouveau stade dans ma carrière, celui de la sérénité et du plaisir de travailler dans un contexte qui me convient. Si ce contexte est sur M6, ce sera sur M6. S'il est sur TF1, ce sera sur TF1 et idem s'il est sur France Télévisions. Je ne raisonne plus en termes de chiffre d'affaires ou de salaire mais en terme de confort de travail. Et surtout en fonction de ce que j'aime fondamentalement faire. Alors, le fait d'être à la radio à la rentrée va combler un certain nombre de choses mais ne comble pas tous les manques potentiels sur une chaîne de télé.

On entend beaucoup parler de l'arrivée de Marc-Olivier Fogiel sur M6.
Oui, c'est bien possible.

Si cela se fait, ne craigniez vous pas que l'arrivée d'une autre personnalité du PAF ne vous prive de case et de projets ?
En ce qui concerne Marc-Olivier, d'abord c'est un pote donc je me réjouis s'il arrivait sur M6. Je pense que c'est un très bon choix stratégique de la part de la chaîne que de le débaucher. Il va apporter beaucoup de choses sur la chaîne donc s'il vient, ce serait très bien, c'est une excellente idée. Maintenant, je ne suis absolument pas concurrent de Marc-Olivier : son fond de domaine et le mien n'ont absolument rien à voir.

Mais vous évoquiez votre envie de talk-show...
Mais le talk-show que je veux faire n'a rien à voir avec ce que pourrait faire Marc-Olivier. Evidemment, s'il avait un talk-show, il n'y en aurait pas deux par semaine sur l'antenne de M6 mais ce n'est pas moi qui fait le choix mais Nicolas de Tavernost.

Mais s'il arrivait pour faire un talk-show et si on vous proposait de faire un talk-show ailleurs, y aurait-il un homme de trop ?
Encore une fois, je ne suis pas en concurrence avec Marc-Olivier.

Si M6 veut lancer un talk-show et qu'elle le confie à quelqu'un d'autre, on peut comprendre que ça ne vous enchante pas...
Je me mets à la place de M6 et très logiquement, Marc-Olivier a dans ses bagages quelque chose qui fonctionne et qui est de qualité, une émission qu'il fait maintenant depuis cinq ans sur France Télévisions. Je pense que s'il est sur la chaîne, c'est pour apporter son savoir-faire, c'est très logique. Ce savoir-faire, je ne l'ai pas. J'ai trois ans d'interviews sur Europe 1, point barre. Je n'ai pas le savoir-faire d'animer un talk-show en télévision. Je ne serai jamais frustré de l'arrivée de Marc-Olivier sur M6.

En 2004, vous avez été au centre de la tourmente médiatique en vous livrant dans un livre sur vous et votre famille... Vous referiez les choses comme à l'époque ?
Non. J'ai été suffisamment naïf et crétin pour penser que tout ça se ferait en bonne intelligence et ça n'a pas été le cas donc si c'était à refaire, je ne le referais pas.

Pas de livre du tout ou le livre différemment ?
Le même livre mais avec une phrase de moins au chapitre 12. Ce n'est pas un grand changement.

Sur RTL, Flavie Flament laissait entendre que vous auriez été manipulé pour cette phrase justement...
J'ai très certainement été manipulé. Ma femme a toujours raison, c'est un principe de base. Flavie a un regard sur le recul et le métier que je n'ai pas forcément.

http://imedias.biz/lemag/lemag-benjamin-castaldi-jaspire-a-certaines-choses-et-m6-le-sait-338.php

Merci Nénette !
Je lirai l'interview dés que j'aurai un peu plus de temps

Benjamin Castaldi arrive sur TF1 !

14 mai 2006 07h30. Dans une interview accordée au JDD de ce jour, Étienne Mougeotte, le vice-président de TF1, annonce l'arrivée sur sa chaîne de Benjamin Castaldi.

«C'est pour moi une formidable nouvelle. Elle s'est concrétisée hier (...) Benjamin présentera à la rentrée des émissions à 19 heures mais aussi des prime dont quelques-uns avec Flavie. Il a signé pour trois ans. Il rejoint ainsi notre dream team d'animateurs qu'il va contribuer à renforcer» déclare Étienne Mougeotte.

imedias.biz

Merci Nénette, le jeu des chaises musicales continue

Intéressant ça...
Merci Nénette

Merci NENETTE

Benjamin Castaldi passe à la Une !

On se tire dans les pattes entre TF1 et M6 et ça y est, c'est signé : l'animateur de la Nouvelle Star rejoint sa femme dans les rangs de TF1.

Benjamin Castaldi et Flavie Flament seraient-ils le nouveau couple star de TF1 après le départ de Laurence Ferrari sur Canal+ et l'éventuel départ de Thomas Hugues sur M6 ? S'interroge le Parisien.

En tout cas, ça chauffe entre les deux chaînes. Etienne Mougeotte a déclare dans le Journal du dimanche ce week-end : "Benjamin présentera à la rentrée des émissions à 19 heures, mais aussi des prime dont quelques-uns avec Flavie. Il a signé pour trois ans" (malgré un contrat d'exclusivité jusqu'en 2007, NDLR). Du côté de M6, rien d'officiel, mais le journal cite qu'en interne, les commentaires vont bon train. Une source déclare : "Ils ne supportent pas qu'on vienne de plus en plus sur leur terrain : l'information, la fiction, les grandes sagas, les séries, le sport... Ils recrutent chez nous (ils ont aussi débauché Anne-Sophie Lapix, NDLR) ? Cela montre leur inquiétude."

http://www.actustars.com/actualite/200605/20060516a.html

Merci Nénette!
Il sera avec sa chérie tant mieux pour lui

Je le préfère tout seul

Ca J'men doute

Merci Nénette...
Je préfère Flavie toute seul aussi moi

''Oui, la pression est très forte'' (30/09/2006)

Benjamin Castaldi anime enfin son premier prime sur TF1 ce samedi à 20h50 avec la présentation du concert de Johnny

DE NOTRE CORRESPONDANTEN FRANCESERGE BRESSAN

PARIS D'abord, un aveu : "Quand je fais du sport, j'écoute Allumer le feu à fond". Une confidence : "Je suis fan depuis toujours !" Délice du hasard : c'est Benjamin Castaldi, 36 ans, qui présente le concert de Johnny Hallyday, en direct du Palais de Paris-Bercy dans le cadre de la tournée Flashback. Rencontre avec l'animateur, revenu sur TF1 après une parenthèse de six ans sur M6.

Depuis le printemps dernier, on ne vous voyait plus à la télé. Elle ne vous a pas trop manqué ?

"Je n'ai jamais été véritablement en manque de télé. Parce que j'ai tourné quelques émissions pilote. Et puis, je n'aurai pas trop de problème d'ego si je ne me montrai plus à la télé..."

Vous dites cela parce que vous débarquez sur TF1 en prime time sur un programme bulldozer !

"Franchement, je vais vous dire : pour moi, assurer l'introduction du concert de Johnny Hallyday, c'est une émission bien plus difficile à faire que ce que j'ai pu présenter dans le passé. Le Loft, Nouvelle Star, on connaît mais là, moi, je ne suis pas dans les codes. Et puis, il y a une pression supplémentaire : c'est mon premier direct sur TF1, tout est extrêmement cadré. Oui, la pression est très forte".

D'autant que vous évoluez sur une chaîne où règne l'Audimat...

"Si ça marche très fort, on dira que c'est grâce à Johnny Hallyday. Et si ça plante, eh ! bien, ce sera à cause de Benjamin Castaldi !"

Présenter le concert de Johnny à Bercy, en quoi ça consiste ?

"A TF1, on m'a demandé de faire le lien entre les téléspectateurs et le concert. C'est assez rare de vivre de si près, quasiment de l'intérieur un tel concert. Alors, mon boulot, ce sera de faire ressentir l'ambiance, de mettre en condition le téléspectateur pour qu'il profite au mieux de l'événement".

Vous dites et répétez que vous êtes fan de Johnny. Que lui trouvez-vous de si exceptionnel ?

"Oui, je suis fan depuis toujours. Je l'ai vu en concert la première fois en 1979 au Palais des Sports à Paris, c'était son époque Mad Max... En fait, c'est un artiste qui traverse la vie de chacun. Il y a toujours une de ses chansons qui a marqué notre vie. De 7 à 77 ans, on est fan de Johnny ! Et puis, il m'a été donné de le rencontrer deux, trois fois en privé. Il prend toujours du temps pour venir vers vous, même si vous n'êtes pas connu. Il s'intéresse aux autres, ce n'est pas de la frime chez lui - et ça, c'est la marque des tout grands".

Ce concert à Bercy, c'est votre premier grand rendez-vous sur TF1. Et vous revenez dès le 14 octobre avec Les 40 couples stars qui ont marqué les Français, on vous retrouve en duo avec... Flavie Flament, votre épouse !

"Je n'ai jamais caché que j'aimerai présenter un programme avec Flavie ! Mais j'ai toujours précisé qu'il fallait trouver le bon support"

Flavie affirmait pourtant encore il y a peu que vous ne présenteriez pas d'émissions ensemble...

"Je ne peux que répéter : nous n'allions pas présenter n'importe quoi, ensemble. Il nous fallait trouver un programme fort : c'est le cas avec Les 40 couples stars..."

On dit aussi qu'ayant perdu son couple emblématique Laurence Ferrari- Thomas Hughes, TF1 vous a recruté surtout pour mettre à l'antenne votre couple...

"... et moi, je ne peux que répondre que lorsque j'ai signé pour TF1, Laurence Ferrari et Thomas Hughes étaient encore membres de la rédaction. Donc, ça ne tient pas !"

En janvier prochain, théoriquement, vous allez présenter un jeu quotidien - vous n'aviez pas envie d'autre chose ?

"D'abord, j'ai la chance d'avoir une palette assez large : je peux aussi bien être le bateleur d'un grand show que mener des interviews intimistes. Et je peux même vous dire qu'il y aura aussi, en deuxième partie de soirée, une émission peopolisante ! Ensuite, je n'aime pas trop les chaussons; je préfère, régulièrement, enfiler des chaussures nouvelles même si elles font un peu mal aux pieds !"

Propos recueillis par S.B.

© La Dernière Heure 2006

Merci Nénette !!!
J'ai hate de voir leur colaboration en duo... ils vont assurés